Clinique du Pic Saint Loup
34980 Saint-Clément-de-Rivière

"Equipe aide soignant presque inexistant Attendu 13 jours pour que les draps soit changer A l arrivée de mon séjour presque pas de communication envers l équipe médicale "

"Personnels peu motivés, caution tv exorbitante, assistante sociale nullissime, médecin peu compétant,..."

"L’hygiène est déplorable, l’écoute du patient vraiment décevante !"

"Médecin très peu présent, difficile pour la famille de communiquer, calment donne avec excès.... kinés peu empathiques...n'y aller que si on n'a pas le choix "

"Je conseille la clinique du Pic St Loup très bon accueil infirmier et infirmières très compétentes merci aux aides soignantes pour les bons soins prodigués et leurs dévouements ainsi qu'à Marc mon kiné "

"Mardi 20 juin pose holter clinique pic st loup cardiologie RDC secrétaire passablement aimable Mercredi 21 juin dépose holter ai attendu ds hall au bout d’un moment l’accueil me demande qui j’attends on me répond service cardio a déménagé 1er étage (aucune information la veille) pour les personnes en perte d’autonomie ce qui est mon cas marche difficile bravo pour la communication aucune information sur ce déménagement (manque d’organisation) Secrétaire stressée, manque d’empathie, le patient est-il au service de l’établissement ou le contraire ? Accueil regrettable pour un patient souffrant d’une pathologie Je devais prendre des médicaments impossible de trouver un gobelet dans l’établissement il faut prévoir de porter sa bouteille d’eau ! Déçu d’être reçu par une secrétaire peu avenante Accueil moyen dans hall d’entrée aucune chaleur dans cette clinique "

"Clinique Pic Saint Loup à Clément sur Rivière : DEPLORABLE et INADMISSIBLE Mon transfert, le 5 avril 2023, depuis l’hôpital chaleureux (les Franciscaines à Nîmes) vers la clinique froide et sans cœur du Pic Saint Loup a été très douloureux. Je résume quelques expériences : • Dès l’arrivée à la réception ils semblaient avoir plus d’intérêt dans le chèque de caution de 700 euros qu’envers le patient. • Après cette partie administrative on m’a posé plusieurs questions au hasard, un amateurisme sans précédent. Ils n’avaient même pas un simple questionnaire imprimé. • Ensuite, un infirmier est venu se présenter (ou plutôt s’imposer). Il n’avait encore rien vu de mon dossier mais affirmait déjà que j’allais y rester au minimum trois semaines. De plus, quand je lui ai fait remarquer qu’il était prévu de m’enlever cinquante pourcent des agrafes le lendemain, il m’a sèchement répondu « Ici on le fait après vingt-et-un jours ». J’avais l’impression d’être tombé entre deux protocoles différents. C’est très difficile de décrire mes émotions à ce moment-là, mais la satisfaction et le soulagement d’une opération au cœur réussie avaient disparus. • A cela viennent s’ajouter les expériences racontées par mon voisin de chambre, j’avais du mal à y croire mais cela m’a encore plus perturbé. Il m’a raconté qu’il avait attrapé le Covid dans le Pic Saint Loup et que le personnel n’était pas informé. D’après lui, certaines personnes auraient même été contaminées après avoir été en contact avec lui. • En fin d’après-midi, pourtant calme sur mon lit, mon cœur s’est d’un coup mis à battre à une vitesse anormalement élevée et déréglée, j’ai eu une grosse frayeur. Heureusement, le cardiologue est venu juste après pour son tour du jour et a tout de suite demandé un ECG et j’ai ensuite reçu un médicament. Mais après je n’ai plus vu personne pour répondre à mes questions comme : l’arythmie était-elle due à l’opération ou bien due au stress que j’ai vécu en entrant à Pic Saint Loup ? • Le 6 avril je pensais recevoir un programme pour ma rééducation physique mais personne n’est venu, je suis donc sorti pour m’informer. Finalement j’ai pu prendre un rendez-vous pour l’après-midi à 15h. En sortant de là, j’ai rencontré l’infirmier et j’ai vérifié avec lui pour le changement de pansement. Je n’étais PAS sur la liste et il a ajouté mon nom au stylo pour après 16h. L’infirmier n’est pas venu ce jour-là pour le changement de pansement et bien plus tard dans cette journée on m’a dit que ça serait finalement pour le lendemain après 14h. • J’ai fait ma première session dans la salle de kiné à 15h, mais sans connaître la suite du programme : on m’a mis sur une bicyclette sans connaître mon état physique de base. En sortant du kiné, j’ai discuté dans le couloir avec le cardiologue, et il m’a très bien expliqué l’arythmie cardiaque de la veille et les médicaments reçus. Ma femme était avec moi, elle s’est faite énormément de soucis à cause des mauvaises expériences que j’ai vécu en quelques heures. • Le 7 avril à 9h j’ai fait une autre session dans la salle de kiné. En retournant dans ma chambre on m’a dit que l’infirmier était passé deux fois pour le pansement alors qu’on avait convenu pour après 14h. Le patient est au service de l’infirmier ou c’est plutôt le contraire ? • Dans l’après-midi, la session de kiné est seulement de 15h à 16h et le matin elle ne dépasse pas les 1h15. C’est ça une rééducation cardio-vasculaire ? Et c’est seulement quand j’ai dit à 16h « à demain » que j’ai appris que la salle serait fermée pendant TROIS jours et que je pourrais me promener un peu sur le terrain (surveillance ?). Je me suis alors demandé « pourquoi je suis venu ici ? » les salles de kiné étant fermées et les patients mis « en pause ». Le Pic Saint Loup ne connait pas les mots « remplaçants » ou « organisation de travail », surtout quand il s’agit de la raison d’être ? • Quand j’étais occupé avec la kiné ma femme restait dans la chambre pour qu’en cas de passage de l’infirmier je puisse descendre tout de suite. Après cette session de kiné l’infirmier était très occupé avec mon voisin de chambre très malade. On est donc sorti pour ne pas déranger. Ensuite, quand c’était à mon tour, pendant que l’étudiant infirmier me changeait le pansement, je lui ai fait remarquer, encore une fois (!), qu’il faudrait aussi enlever la moitié des agrafes. Il a refusé car c’est seulement après 21 jours au Pic Saint Loup, et « que leurs médecins sont compétents » insinuant indirectement que ceux de l’hôpital les Franciscaines ne le sont pas. Je lui demandais alors : « faites-vous aussi ce genre d’opération ? ». « Non », m’a-t-il répondu, je répliquais : « Donc où est la compétence ? ». J’étais furieux, je suis sorti de la chambre pour appeler l’hôpital les Franciscaines. L’infirmière de là-bas allait le communiquer à mon chirurgien et, après 5 à 10 minutes, j’étais allongé pour l’enlèvement de mes agrafes. C’est quand même grave qu’il faille aller si loin pour recevoir les soins adéquats ; inadmissible ! • Mon voisin avait 39,6°C de fièvre le matin du 7 avril, donc j’ai demandé s’il était entré à la clinique avec un test PCR négatif. « Bien sûr » m’a-t-on répondu, mais après 20 minutes, un infirmier est arrivé pour lui faire (encore ?) un test PCR. Bizarre, non ? Donc quand on frappait à ma porte à 22h30 pour me dire que mon voisin est positif au Covid et qu’à partir de ce moment j’allais être mis en isolement, je ne pouvais y croire (mais étais-je vraiment surpris ?). Le peu de confiance qu’il me restait envers cette clinique avait disparu. Selon cette infirmière je ne pouvais pas sortir ni recevoir de la visite. La nuit, comme le lendemain matin, l’infirmière était passée prendre ma température. J’ai aussi dû faire un test PCR (le matin du 8 avril). Cette infirmière me communiquait alors que mes médicaments arriveraient plus tard, car ma boîte étant vide, elle a dû aller les chercher dans la pharmacie d’urgence. Comment une telle négligence est-elle possible dans une clinique ? Cette infirmière me disait aussi que je pouvais sortir de ma chambre et recevoir de la visite, et pour me montrer qu’elle était sûre que je n’avais pas le Covid, elle enlevait son masque (à distance quand même). A qui croire ? Ma femme avait déjà fait un autotest, car elle était également menacée ! J’attendais la visite du médecin pour savoir ce que je pouvais faire ou non. Selon elle, je pouvais sortir à l’extérieur pour faire du sport mais garder un masque à l’intérieur. Donc trois opinions pour la même chose ! Je m’étais accordé avec elle que je rentrerais chez moi après la visite du cardiologue qui aurait lieu le 11 avril. Elle allait l’informer à ce sujet. Je faisais donc mon kiné (promenade non surveillée) à l’extérieur et j’évitais d’aller hors de ma chambre, pour éviter un risque pour les autres. Au soir, je suis quand même allé voir à la cuisine (avec le masque bien-sûr) pour demander pourquoi je n’avais pas reçu de quoi manger dans la chambre ; on m’avait complètement oublié ! • Le lendemain, le 9 avril, on m’a encore oublié, mais pour des choses bien plus sérieuses qu’un repas : personne n’est venu ni pour prendre ma tension, ni pour prendre ma température, et le résultat du test PCR n’étant pas encore là. J’avais vite compris qu’au Pic Saint Loup il ne faut pas dépendre des autres et donc ma femme avait déjà apporté notre propre appareil pour prendre ma tension, ainsi qu’un thermomètre et un autotest PCR. A 11h, je disais à l’infirmière que je resterai dans ma chambre, mais quand, à midi quinze, je n’avais encore une fois pas reçu mon repas, je suis allé à la salle à manger, encore une fois, avec le masque. Une fois arrivé, on me dit devant d’autres personnes présentes que je n’avais pas le droit d’y être ! J’avais quand même droit à de la nourriture, non ? Ensuite on m’a confirmé que le résultat du test PCR était négatif et on m’a enlevé les agrafes restantes. Ma situation semblait se normaliser mais ça ne réparait pas les grands dégâts qui ont été fait chez moi et il est évident que je ne suis pas un cas isolé. • Le 11 avril le secrétariat a confirmé mon départ pour le 12 avril. J’attendais encore le cardiologue, donc je ne pouvais me rendre à ma séance de kiné car l’heure de son passage était inconnue. J’ai donc fait ma promenade, à l’extérieur mais devant le carreau de ma chambre, et j’ai laissé un message bien visible dans la chambre pour l’infirmière. Dans l’après-midi, une infirmière me dit que le cardiologue demandait après moi lors de ma balade. Elle n’a même pas pris la peine de sortir une minute pour me prévenir devant la chambre. A 18h je suis donc allé à la réception moi-même pour indiquer que je devais encore voir le cardiologue, on allait venir me chercher dès que le cardiologue serait disponible ; donc pendant le dîner (à 18h15). Le cardiologue a très bien fait son travail, et finalement quelqu’un a pris le temps pour moi, un patient dans la clinique ! • Le lendemain on m’a donné les médicaments mais personne n’a pris le temps de prendre ma tension et de mesurer le taux d’oxygène même pour ce qui est de base dans un clinique, ne semble pas assuré dans la clinique de Pic Saint Loup. Donc pendant 7 jours j’ai fait au maximum 3 heures de kiné ! On ne parle pas des petits problèmes comme la page web sur laquelle est indiqué l’existence d’une connexion internet (WIFI) payant qui n’existe pas comme on m’avait indiqué à l'accueil (beaucoup de patients se faisaient la même remarque, mais les gens vulnérables parlent rarement). J’ai envoyé formellement une lettre ; réception a été confirmée, mais la réponse, promis dans les 2-3 semaines, semble trop difficile à formuler. "

"très bonne prise en charge pour ma pathologie de cardiologie. bravo aux personnels soignants"

"Après 5 jours ( en consultations ) d’examens pour problèmes cardiologique suite au Covid je suis entièrement satisfait de cette clinique, propreté , accueil , en particulier du secrétariat cardiologie, et surtout compétence professionnelle du personnel et efficacité du Cardiologue qui m’a remis en état après tout les examens qui m’ont étaient appliqués avec efficacité. Je recommande fortement cette clinique pour ma par point de vue cardiologie ."

"Établissement à déconseiller et à fuir totalement, surtout pour les personnes ayant besoin de soins. À souligner, un manque total de suivi médical (quand il y en a un !!!) qui frise l'incompétence et peut se révéler dangereux, (sans exagération de ma part). Certains personnels administratifs caractériels, qui invectivent les personnes de manière éhontée et devraient changer de métier et se font menaçante auprès du patient. Un manque de réactivité qui débouche sur les urgences, voir pire !!! Déplorable !!! "

"Établissement à déconseiller Au niveau des soins ce n’est pas au top comparé à la clinique st jean Au niveau du matériel (ex: fauteuil pour exercices kine pas ergonomique ) Clim en panne plusieurs heures sans surveillance patient impotent secretariat médical pas à la hauteur..."

"Il est compliqué d'avoir une consultation par un pneumologue ou un cardiologue (alors que j'ai eu une chirurgie cardiaque), même quand on a un problème(intolérance à un médicament qui me provoque de gros problèmes respiratoires ) impossible de les voir, les infirmières se battent pour obtenir des informations. Au bout d'un mois toujours pas vu de cardiologue. Vraiment très déçue du suivi des patients par les médecins, c'est vraiment pas sérieux. Après tout le personnel est au top."

"Pour rester factuel, entre les jeunes infirmières qui se comporte comme des chipies, les aides-soignantes qui devraient changer de travail ou partir à la retraite, la gamme est large, allant du bon professionnelle au médiocre voir jusqu'au je-m'en-foutisme. Si je devais quantifier, deux tiers des équipes manques d'empathie. Les sujets prégnants sont ; les erreurs d'asepsie commises par certaines infirmières, les erreurs de dosage de médicaments commises régulièrement par deux d'entre elles "à six reprises en quatres semaines dans mon cas" et, en fonction de l'infirmière, la prise des constantes est aléatoires. Les techniciennes de surface qui en fonction de l'équipe ne font le ménage que très sommairement ou, un jour sur trois, la cuvette des toilettes qui n'a jamais été désinfectée en quatres semaines. Je me demande comment il n'y a pas plus d'infection nosocomiale et comment il n'y a pas plus d'accident avec les erreurs de dosage des médicaments. Par ailleurs, la communication est inexistante, le patient découvre qu'il par passer un examen prévu lorsque les ambulanciers arrivent dans la chambre pour l'emmener. Les visites des médecins sont rares, et là encore, les patients découvre son passage lorsqu'il rentre dans la chambre. Un petite partie du personnel se comporte comme si vous étiez un gamin, non un grabataire, qui ne comprends rien et qui à besoin d'assistance. Il existe une infirmière boudeuse qui, lorsque vous lui faites remarquer qu'elle a une nouvelle fois fait une erreur de posologie ne vous dit plus bonjour, envoie une aide soignante vous donner vos médicaments. Je n'aborderai pas le sujet de la nourriture, je dis nourriture par politesse, la cuisine de l'établissement était fermée pour travaux lors de mon séjour, et les repas livrés par une cuisine centrale qui a aussi une obligation de résultat financier. Il y a une catégorie du personnel en charge de vous servir les repas qui, le soir, vous accorde une vingtaine de minutes pour dîner. Plateau servi à 18h10, débarrasser avant 18h30. Il ne faut pas leur faire remarquer aux risques d'invectives. En conclusion, il m'ait apparue que le personnel d'entretien, d'aide soignante et d'infirmière manquent d'encadrement et de contrôle continu. Le mixte de personnes âgées en attente de lit en EHPAD avec les patients en soins de suite et de réadaptation est pour moi loin d'être judicieux pour l'équilibre du service (sauf raison financière). Il y a tout de même quelques points positifs, le personnel de l'accueil est souriant, les équipes de kinésithérapeutes sont agréables, attentionnées et compétents. Ils relèvent bien le niveau et, sans eux, je n'aurai pas accepter de rester quatre semaines."

"Pas recommandable ne vont pas vers les personnes ne sont pas humains je conseille pas cette clinique"

"Très bien , et le service de kinésithérapeute Extraordinaire et le mot est faible."

"Je viens de passer 30 journées en HdJ qui m'ont permis de récupérer beaucoup de mes problèmes pulmonaires. Remercie infiniment les infirmières et les coaches APA pour pour leur professionnalisme et leur bienveillance. je serais resté bien volontiers..."

"Très bon établissement. Les coachessportifs dont très sympa et très professionnels, les infirmières sont toujours agréables et attentives. Heureusement que des établissements comme celui là existent. Ça permet une amélioration physique, ça redonne confiance en soi , en son corps et ses possibilités, ça nous donne des clés de comprehension . A nous ensuite de nous prendre en charge.."

"établissement très agréable personnel soignant très dévoué il manque un accès terrasse (porte automatique)au niveau salon du 1er étage pour les PMR pour s'aérer "

"Après une première admission en hospitalisation totale suite à une opération à coeur ouvert et pour 15 jours, suivie d'une hospit de jour pour une rééducation et éducation cardio-vasculaire pour 20 séances, j'ai trouvé dans les deux cas des équipes au top. Le personnels médical ainsi que les coatchs ce sont avérés être à l'écoute, disponibles et compétents. L'environnement y est très agréable de surcroit. J'ai déjà conseillé cette clinique à une amie qui doit y être admise dès la semaine prochaine"

"3 mois de rééducation….3 mois de bien-être, de soins , de bienveillance. Un personnel très professionnel (a une exception près)…bref je suis revenue à la vie, grâce à vous. Merci Judith, Gilles Olfa et vous tous.pensées à Cécile,et surtout, à Victoria, « ma Kinésithérapeute « . Je vous souhaite à tous le meilleur. Très cordialement Florence Mignier"

"J'ai passé 30 journées magnifiques en hospitalisation de jour. Les infirmières compétentes et dévouées et toujours à notre écoute, les enseignants en APA excellents pour notre remise en forme, tout est réuni pour un séjour parfait. Merci à tous, y compris les médecins spécialisés et tout le personnel de la restauration pour leur dévouement, à la grande satisfaction de tous les patients du service HDJ"

"Accueil déplorable; manque d'empathie; manque de respect du patient livré à lui même et réveillé à 4 H du matin pour un bilan Non Urgent ...) Clinique à éviter +++ LR à la Direction qui soutient son personnel bien sûr !"

"Peu de prise en compte des demandes de ma mére sur ces difficultes éventuelles ( télephone qui ne marche pas ) , peu de personnel pendant le week end et surtout une assistante sociale extermement désagréable qui n'a pas compris son rôle d'accompagnement des familles . Au dela d'être physiquement presente à son rendez vous et de poser une demi jour de congé à son son employeur elle m'indique qu 'elle ne connait pas ma mére et quelle a une centaine de patients donc elle ne connait pas la situation de ma mére . je vais solliciter un controle des ars sur cette clinique trop de légéreté sur la gestion des familles heureusement QU IL Y A LES INFIRMIERES QUI CONNAISSENT LA BEINVEILLance et l ecoute l'acceuil témléphonique est catasatrophique manque de beinveillance et de politesse "