MAISON DE CONVALESCENCE SUNNY COTTAGE
66110 AMELIE LES BAINS PALALDA

Référence : 58708 Mettre à jour la fiche
Centres de Soins Médicaux et de Réadaptation (SMR) Pyrénées-Orientales (66)

Coordonnées de l'établissement

Adresse : 28 avenue de la riviera, 66110 AMELIE LES BAINS PALALDA

Téléphone : Voir le numéro

Fax : 04 68 39 38 92

Email : direction@sunnycottage.fr

Centre de Soins Médicaux et de Réadaptation (SMR), en quelques mots

Etablissement de santé privé autorisé en SSR à Amélie-les-Bains-Palalda, CL SSR SUNNY COTTAGE, établissement inscrit au numéro 660781097 au répertoire FINESS est géré sous le statut Société A Responsabilité Limitée (S.A.R.L.). Il est ouvert depuis le 30-déc-59.

Caractéristiques CL SSR SUNNY COTTAGE

  • Soins de suite et de réadaptation non spécialisés
    Public accueilli : Adulte (âge >=18 ans)
    Fonctionnement : Hospitalisation complète (24 heures consécutives ou plus)
  • Soins de suite et de réadaptation spécialisés - Affections de la personne âgée polypathologique, dépendante ou à risque de dépendance
    Public accueilli : Adulte (âge >=18 ans)
    Fonctionnement : Hospitalisation complète (24 heures consécutives ou plus)

Les centres de Soins Médicaux et de Réadaptation (SMR) s'articulent autour de 3 axes : la rééducation, la réadaptation et la réinsertion. Cet établissement sanitaire a pour objectif le retour à l'autonomie du patient pour un retour à domicile. Majoritairement, les SMR sont polyvalents et accueillent tous types de patients. D'autres sont spécialisés pour une prise en charge plus adaptée : SMR pédiatrique, SMR adultes spécialisés. Pour plus d'infos sur cet établissement, veuillez contacter MAISON DE CONVALESCENCE SUNNY COTTAGE Amélie-les-Bains-Palalda par téléphone au 04 68 39 05 50.

Accompagnement social

CCAS AMELIE LES BAINS PALALDA

5 rue des thermes
66110 AMELIE LES BAINS PALALDA

Professionnels de santé
Amélie-les-Bains-Palalda

  • Chirurgien dentiste
  • Masseur kinésithérapeute
  • Médecin généraliste
  • Orthophoniste
  • Pédicure-podologue
  • Psychologue

1 Avis MAISON DE CONVALESCENCE SUNNY COTTAGE Laisser un avis

J
Jean Claude, Résident(e) | 2023-01-15 20:24:04
"Chacun a le droit de donner son avis sur cet établissement, mais un peu d’honnêteté ! Stop aux avis dithyrambiques, de complaisance. D’autres auront peut-être un choix à faire. Qu’ils puissent le faire en connaissance de cause. Pour ce qui me concerne, mon ressenti est le suivant après six semaines de « soins », suite à un accident cardiaque sérieux. Pour mieux comprendre mon contexte, j’avais demandé une hospitalisation conjointe avec mon épouse en situation de totale dépendance et dont j’étais le seul aidant. Dans l’urgence extrême, le choix des services hospitaliers s’est porté sur cet établissement sunny cottage dont je suppose que le seul critère retenu était la disponibilité. Mon admission, dans la même chambre que ma femme, est intervenue un vendredi ; peu de temps aura suffi aux constats suivants : La chambre : sur le papier, c’est bien une chambre double, sauf que la surface de celle-ci impose l’emplacement de deux fauteuils et table d’alité dos à une fenêtre et sous la TV. Je vous laisse imaginer la position pour la regarder. De toute façon, cette TV n’a jamais réellement fonctionné et pendant une semaine, notre chambre est devenue un atelier de réparation avec d’incessantes allées et venues de techniciens, porte grand ouverte. Environnement idéal pour un malade du cœur ! On pourrait objecter que cette situation était exceptionnelle ; peut-être, mais en tout début de séjour, c’est une poche de vêtements partie à la laverie qui n’est jamais revenue. De surcroît, on m’a même soutenu qu’il m’appartenait de téléphoner à la laverie pour obtenir des explications ! La directrice de Sunny cottage, auprès de qui j’ai fait part de mon mécontentement et de mon souhait de récupérer ce sac conséquent de vêtements, a, avec une mauvaise foi extrême, rejeté toute responsabilité sous prétexte que la laverie était un « service à disposition » ! Elle a quand même fini par daigner bien vouloir essayer de se renseigner. À ce jour, je n’ai toujours pas récupéré mes vêtements et j’attends toujours un semblant d’explications. Puis, plus tard, c’est la salle d’eau (moins de 1,5 m2, sans patère murale pour accrocher vêtements et serviettes, sans rideau contre les projections) et une partie de la chambre qui sont inondées suite à une fuite d’eau en plafond. Le trou béant réalisé dans le faux plafond pour réparer la fuite d’eau restera en l’état jusqu’à notre sortie, trois semaines plus tard, laissant passage à la poussière et autres insectes circulant dans le faux plafond. De fait, tout me semble régi pour une rentabilité démesurée ; personnel, équipements, prestations, nourriture (le goûter de 16 h est supprimé.) Le menu, joint avec le plateau de nourriture, est fantaisiste. Peu souvent en adéquation avec la réalité. La viande, quand on la trouve, ne dépasse que très rarement le contenu d’une cuillère à soupe et, même quand la diététicienne prescrit des suppléments, ils sont rarement pris en compte. Tout cela s’est concrétisé par une perte de poids non négligeable. Docteurs, infirmières, infirmiers sont à l’écoute des patients, souriants, professionnels et principalement les infirmières de nuit. L’assistante sociale est remarquablement efficace. Tant qu’à la diététicienne, singulièrement volontaire, tient compte à la fois des observations du personnel de santé et des souhaits ou remarques des patients. D’autre part, en dépit de cet état de rentabilité à tout prix, elle ne se décourage jamais, bien que consciente de « donner un coup d’épée dans l’eau ». Pour ce qui concerne une partie des aides-soignantes, c’est un désastre. C’est d’autant plus dommageable que ce sont elles qui sont au contact des patients. L’effectif réduit, trois à quatre par rotation pour 42 chambres, en est vraisemblablement la cause, mais n’explique pas tout. Pour certaines toujours dans l’urgence, la mine renfrognée, désagréables, souvent indifférentes aux remarques ; allant même jusqu’à refuser, le matin au lever, de changer le « change », trempé d’urine, prétextant l’absence d’une collègue et qu’elles n’ont pas le temps, qu’une consœur viendra plus tard (bien plus tard !!!!!). Où est la conscience professionnelle ? Une aide-soignante qui ne comprend pas qu’au-delà de 80 ans, le moindre changement dans un cycle d’habitudes perturbe et génère questions et comportements inhabituels, doit se remettre en question. Par ailleurs, l’exaspération, à la limite de l’agressivité, pour affirmer son « autorité » ne peut pas être un comportement acceptable chez une aide-soignante et encore moins, qui, par dépit, laisser en plan une patiente dans sa chambre. C’est lamentable. Elles ne sont pas toutes comme ça. Nous avons eu la chance d’avoir, de temps en temps, une équipe formidable, soumise aux mêmes contraintes de temps, d’équipements, d’absentéisme imprévu que les autres, et pourtant qui trouve invariablement le temps de vous écouter. Toujours, souriante, pas le sourire de façade, pas celui qui disparaît dès que vous tournez le dos ; toujours le petit mot gentil, celui qui vous rassure, vous fait oublier un instant où vous êtes, votre état quelle que soit la situation, extrêmement professionnelle. Un exemple : c’est la seule équipe qui a pris le temps de doucher ma femme chaque semaine. En six semaines, personne d’autre n’a évoqué l’éventualité d’une douche. Je vous laisse juger ! Et j’ai conscience de la chance que nous ayons eue. Cette équipe, à l’évidence, a le sens de l’organisation et la condition sine qua non pour exercer ce métier : la vocation ; cela devrait être un exemple pour beaucoup. Il ne m’appartient pas de conseiller où déconseiller cet établissement. Je vous fais simplement état de six semaines de vécu. Jean claude "

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