Centre Hospitalier de Grasse
06135 Grasse

"Depuis 3 mois, j'ai accompagné 3 personnes aux urgences de Grasse: avec systématiquement une très mauvaise expérience. 1/ urgence pour question psychiatrique : aucune écoute, pas de lien avec le service spécialisé, manque de respect, pas de considération pour un tel patient qui ne peut pathologiquement pas patienter des heures. 2/ personne âgée : attente de plusieurs heures, disparition du patient dans le service d'urgence pendant 8heures sans aucune nouvelle, téléphone mobile sans réseau à l'intérieur, aucune communication des médecins, puis aucun papier médical 3/ jeune scootériste accidenté : après une prise en charge par une infirmière sans visite de médecin, relâché sur un fauteuil dans la salle d'attente ni ambulance ni rien avec une fracture ouverte au pied plâtrée et avec des erreurs énormes de diagnostic (qui auraient pu générer des dommages corporels irréversibles) reconnues deux semaines plus tard par le chirurgien spécialiste qui l'a opéré en urgence. Bref: le service des urgences de l'hôpital de Grasse est absolument à éviter de toute urgence ! Quel dommage étant donné la très bonne qualité des autres services de cet hôpital."

"Avis sur le Dr Kicha – Parcours PMA et endométriose ???? Pour celles et ceux qui n’auront pas le courage de tout lire : Après sept ans d’essais bébé, une fausse couche et un diagnostic d’endométriose, j’ai consulté le Dr Kicha debut 2025. Malgré un premier contact plutôt positif, mon expérience a été marquée par un manque de communication, d’organisation et de cohérence dans le suivi. Rendez-vous systématiquement en retard, mails sans réponse, oublis administratifs et examens reportés : j’ai fait plusieurs allers-retours de deux heures chacun sans réelle continuité. Le fond médical semble sérieux, mais la forme, la rigueur et la dimension humaine font défaut. Dans un parcours aussi sensible que la PMA, la stabilité et l’écoute sont essentielles. Je partage ce témoignage pour aider d’autres patientes à avancer avec toutes les cartes en main. Mon expérience détaillée Mon compagnon et moi avons consulté le Dr Kicha début 2025 dans le cadre d’un projet d’enfant, après sept ans d’essais, une fausse couche et un diagnostic d’endométriose douloureuse. Dès le premier rendez-vous, j’ai expliqué que le milieu médical m’angoissait et que j’avais besoin d’un accompagnement clair et bienveillant. Le Dr Kicha a été directe : selon elle, il ne fallait pas attendre davantage pour démarrer la PMA. Elle nous a prescrit rapidement de nombreux examens (IRM, analyses hormonales, etc.) que nous avons réalisés dans le mois. Lors du rendez-vous du 16 avril, elle a confirmé que mon taux d’AMH était bas et que mon dossier devait être staffé rapidement, à condition que je fasse une HyFoSy (examen des trompes). C’est elle-même qui m’a donné le rendez-vous et devait réaliser l’examen. Je me suis donc déplacée début mai (2h de route aller). En arrivant, on m’a annoncé que l’échographe n’était pas adaptée à l’HyFoSy, donc l’examen n’a pas pu être fait. Elle a simplement effectué un comptage folliculaire et fixé un nouveau rendez-vous. Avant ce second rendez-vous, j’ai envoyé plusieurs mails et passé deux appels pour la prévenir que mes règles arrivaient, ne sachant pas si cela posait problème. Aucune réponse. Dans un de ces messages, j’ai aussi redemandé une ordonnance pour le BHCG (oubli de sa part), indispensable pour écarter une grossesse avant l’examen. Je me suis tout de même rendue au rendez-vous. Sur place, elle s’est montrée visiblement agacée de constater que j’avais mes règles, alors que je l’avais prévenue plusieurs jours auparavant. Elle a tout de même effectué une échographie et constaté la présence de sang dans le ventre, probablement lié à l’endométriose. Elle m’a ensuite prescrit une pilule pour calmer l’inflammation avant la stimulation. J’ai toujours été fermement opposée à la pilule, et l’idée d’en reprendre était impensable pour moi. Mais après ses explications sur son effet anti-inflammatoire temporaire et la préparation du corps avant la PMA, j’ai choisi de lui faire confiance, malgré mes réserves. Lors du rendez-vous suivant, l’HyFoSy a enfin pu être réalisée. L’examen s’est bien déroulé, mais le contexte restait difficile : elle arrivait souvent avec beaucoup de retard — jamais à l’heure, toujours entre 30 minutes et deux heures d’attente — et à l’un de ces rendez-vous, elle est même arrivée avec du sang sur ses chaussures, sortant visiblement d’une urgence. Je comprends les contraintes de l’hôpital public, mais cette accumulation donnait une impression de précipitation et de désorganisation. En juin, elle m’avait demandé de lui envoyer un message pour que mon dossier soit staffé le 10. Ce que j’ai fait. Vers le 20 juin, le secrétariat m’a finalement appelée pour m’apprendre que mon dossier n’avait pas été enregistré, donc qu’il n’avait jamais pu être présenté. J’ai alors rédigé un mail formel le 24 juin pour exprimer ma déception et mon incompréhension face à ces erreurs répétées. Début juillet, un rendez-vous téléphonique prévu avec elle a été décalé à la dernière minute. Elle devait m’appeler en fin de matinée, mais l’appel a eu lieu vers 13h. Elle m’a annoncé que le rendez-vous avec la biologiste était fixé au 9 octobre à Nice. Entre juillet et octobre, je n’ai reçu aucune autre information. C’est une autre gynécologue, consultée quelques mois plus tôt, qui m’a appris que plusieurs démarches essentielles n’avaient pas été faites : les sérologies devaient dater de moins de 6 ou 3 mois cela dépend des hôpitaux, la demande de prise en charge à 100 % n’avait pas été déposée, et il manquait les rendez-vous d’information obligatoires. Début octobre, j’ai écrit au Dr Kicha via le groupe PMA : elle m’a indiqué qu’elle m’appellerait le 8 octobre, mais ne l’a pas fait. Le 9 octobre, j’ai eu mon rendez-vous à l’hôpital de l’Archet avec la biologiste : un accueil exemplaire, des explications claires et rassurantes. Comme le Dr Kicha devait m’appeler la veille et ne l’avait pas fait, j’ai préféré lui envoyer un message récapitulatif de ce rendez-vous. Je n’ai jamais eu de réponse. Le 10 octobre, nous devions avoir un rendez-vous téléphonique à 19h : aucun appel, aucun message. Le 11 au matin, j’ai reçu un SMS m’indiquant que sa garde avait été compliquée. Après un échange pour fixer une nouvelle heure, nous devions nous parler à 17h, mais elle n’était pas disponible non plus. Je lui ai répondu que j’avais le sentiment d’un très mauvais suivi. Un dernier créneau a été pris pour le dimanche 12 à 17h, mais à ce stade, je ne me sentais plus capable de continuer avec ce médecin. Mon mari a donc pris le relais. L’échange avec elle a été décevant : aucune remise en question, selon elle tout était cadré, prêt et conforme, et le problème venait de moi qui “n’avais pas fait confiance” ou “voulais regrouper les rendez-vous”. Un renversement de situation total. Pourtant, lors de nos rendez-vous, nous avions tout noté par écrit : il avait été convenu d’un début de stimulation mi-octobre / début novembre, car nous n’étions pas disponibles en décembre. Malgré cela, elle nous a proposé un début de stimulation le 28 novembre, en totale contradiction avec ce qui avait été dit. En résumé : beaucoup de retards, une communication quasi inexistante, aucun suivi rigoureux, et un manque d’écoute évident. Pourtant, ce n’est pas le fonctionnement du service qui pose problème : j’ai également été suivie par la Dr Laura Puypouda, gynécologue du même service, au même hôpital, et tout s’est toujours déroulé parfaitement. Pas de retard, un vrai temps d’écoute, des résultats transmis rapidement et un appel systématique en cas de problème. Comme quoi, le bon suivi dépend avant tout de la personne qui vous accompagne. Mon mari a tenu à lui dire directement que nous ne voulions rien faire dans son dos, et que nous laisserions simplement un avis honnête sur notre parcours. J’espère sincèrement que le Dr Kicha lira un jour ce commentaire, ou qu’un supérieur ou collègue le lira, et qu’ils sauront remettre en question l’organisation actuelle pour améliorer la prise en charge. Ce type de parcours est déjà assez difficile en soi et il mérite une écoute, une rigueur et une disponibilité à la hauteur de ce que traversent les patientes. Je ne remets pas en cause ses compétences médicales, mais le manque d’organisation et de considération humaine rend ce suivi bien plus éprouvant qu’il ne devrait l’être. Si j’avais lu un avis comme celui-ci avant, j’aurais probablement fait un autre choix. "

"Au top..! Personnel, technique médicale, innovant dans sa restructuration, accueil impeccable malgré l'intensité des travaux actuels. Je leur tire mon chapeau !"

"Une expérience traumatisante et des pratiques médicales douteuses avec Dr. Kicha Souad Le 20 janvier, l’accouchement de ma femme a été un véritable cauchemar, principalement à cause de la prise en charge inacceptable de Dr. Kicha Souad. Voici les faits : 1. Une réputation inquiétante confirmée : La veille de l’accouchement, alors que ma femme n’avait aucune contraction, nous avons demandé qui serait la gynécologue de garde. Une sage-femme nous a directement répondu : “Si c’est Dr. Kicha, préparez-vous à une césarienne”. Ce genre de remarque en dit long sur les pratiques répétitives et problématiques de ce médecin. 2. Décisions médicales incompréhensibles : Le lendemain, avec un col de l’utérus dilaté à 9, ma femme a été mise en position de pousser, ce qui est contre-indiqué avant une dilatation complète à 10+2h. En plein milieu de l’effort, Dr. Kicha est entrée et a immédiatement ordonné une césarienne. Lorsque j’ai demandé pourquoi nous ne pouvions pas tenter un accouchement naturel, elle a répondu de manière désinvolte : “Ah, si vous voulez, on peut essayer”. Après un seul essai, elle a déclenché un code rouge, prétextant la présence de selles dans l’utérus, ce qui s’est révélé plus tard totalement faux dans le dossier médical. 3. Un comportement dangereux en salle d’opération : Pendant la césarienne, l’anesthésiste a dû intervenir pour calmer Dr. Kicha, qui procédait de manière précipitée et inconsciente. Ma femme, encore éveillée et en douleur, a entendu l’anesthésiste crier : “Doucement, Souad, fais un test d’abord !”. Finalement, l’anesthésiste a décidé de plonger ma femme dans une anesthésie générale pour la protéger. Ce manque de maîtrise de la situation est inadmissible et met en péril la vie des patientes. 4. Des justifications contradictoires et une intervention abusive : Le lendemain, le dossier médical indiquait que la césarienne était justifiée par une supposée baisse du rythme cardiaque du bébé, sans mention de selles dans l’utérus. Dr. Kicha, lors de ses visites répétées (suspectes, sachant que ma femme est aide-soignante dans le même hôpital), a tenté de justifier son acte en inventant que le bébé était “agrippé aux parois”, causant des hématomes. Cette excuse n’a aucune base médicale. 5. Des séquelles physiques graves : Aujourd’hui, ma femme souffre énormément. Une sage-femme venue à domicile le 28 janvier a été choquée en voyant la cicatrice. Alors qu’une césarienne nécessite normalement entre 15 et 20 agrafes, ma femme en a 30. La sage-femme a également constaté des hématomes, une inflammation inquiétante, et même des signes d’infection. En voyant la cicatrice, sa réaction immédiate a été de demander : “C’est Dr. Kicha Souad qui a fait ça ?”. Ce simple commentaire montre à quel point sa réputation est connue. 6. Un schéma inquiétant : Après avoir discuté avec plusieurs femmes, il apparaît que presque toutes les patientes de Dr. Kicha finissent en césarienne, souvent sans justification claire. Cela soulève des questions graves sur ses motivations et ses compétences. En conclusion, l’expérience avec Dr. Kicha Souad a été un traumatisme pour ma femme, moi-même, et notre bébé. Ce médecin semble privilégier les césariennes, même sans indication médicale, au détriment du bien-être et de la santé de ses patientes. Nous appelons à une enquête sérieuse sur ses pratiques afin d’éviter qu’elle ne continue de causer de tels dégâts. Si vous êtes future maman, je vous conseille vivement d’éviter ce médecin pour votre sécurité et celle de votre bébé."

"Heureusement que tous les services ne se ressemblent pas. J'ai été admise le 20 décembre en ambulatoire pour une coloscopie et je dois dire que j'ai été agréablement surprise par les qualités du personnel de ce service, par rapport à un passage aux urgences en juillet dernier. Très bien accueillie et orientée. Personnel agréable, à l'écoute, prévenant et empathique. Un souffle de vie à l'hôpital, un vrai bonheur d'avoir partagé une journée entière avec l'équipe de ce service, qui sait prendre soin. Un sursault d'humanité comme on aimerait en rencontrer plus souvent. Merci à tous, je ne vous oublierai pas."

"Merci à toute l équipe des urgences Très bon accueil personnel à l écoute j ai été touché par votre professionnalisme et votre humanité "

"Je suis arrivée aux urgences en Etat d'urgence vitale, inconsciente,avec 6 de tension. (Covide avec pathologie agravante) Ils m'ont sauvée. Je tiens à les remercier pour leur Chaleur et leur efficacité. 8jours ds 1 lit très confortable et bien articulé. Infirmières, medecins, femmes de salle, tous au top, aux petits soins. Côté médical, ts les paramètres ont été pris en compte. C'est grâce à toutes ces personnes que je peux aujourd'hui leur dire merci. Alors un IMMENSE MERCI À TOUS "

"Au urgence vous pouvez rester des heures personne ne vient vous donner des nouvelles plus de 3 h d’attente, il vous reste votre angoisse , votre inquiétude sans un mot réconfortant, juste nous dire comment va le patient . Une honte …"

"Au service des urgences, un accueil très chaleureux, presque familial, par Déborah Elle dégage un altruisme rare à notre époque. J’espère qu’elle restera longtemps à l’accueil."

"Je donne des mauvaises notes pour le Dr Boussakaya, un peu trop désinvolte, j'attends des résultats d'examens depuis un mois, avec 3 relances le secrétaire me répond que le docteur à beaucoup de retard !! Est-ce bien sérieux ? "