CLINIQUE CHATEAU DU BEL AIR
91560 CROSNE

"Cette clinique est A FUIR et plus précisément les docteurs FAHS et AMERI. Voici les faits : Mon père vit à l’EPHAD La Cristolienne depuis des années. C’est son choix et il y est très heureux. Depuis un peu plus d’un an son état physique et psychologique s’est dégradé. Il appelle ça sa déchéance. Dégradée à tel point qu’il a manifesté plusieurs fois l’envie d’en finir. Ce n’est pas une idée nouvelle. Il a toujours dit préférer partir plutôt que devenir un légume sur un fauteuil roulant. Dans la nuit du 8 au 9 aout, les pompiers l’ont retrouvé sur son fauteuil roulant dans un parc à Créteil endormi avec un corde à noeud coulant. Ils l’ont emmené aux urgence psychiatrique de l’hôpital Henri Mondor. De là il a été admis à Bel Air en attendant qu’on lui trouve un lit dans un hôpital mieux adapté. Trois jours plus tard il a essayé de se pendre avec le tuyau de douche. Il a ensuite été placé dans « une chambre d’apaisement » et sédaté avec des doses de cheval par peur d’un nouveau passage à l’acte. Le 24 août j’ai obtenu un rdv avec le docteur AMERI et son équipe. On m’a expliqué que le lieu n’était pas complètement adapté pour lui, ce que je comprends et qu’il allait être transféré à l’hôpital Dupuytren le 30 août à 9h30. C’est une bonne nouvelle pour tout le monde. J’explique donc à mon père plusieurs fois (tout est assez confus pour lui) ce qui va se passer. Je quitte Bel Air, il est 17 heures. A 18h40 le docteur AMERI m’appelle pour me dire qu’il l’envoie faire un « bilan gériatrique complet » à l’hôpital Mondor. Je m’étonne de l’horaire. Il me dit que c’est tout à fait normal et qu’on fait un point le lendemain. A 23h30, le psychiatre des urgences psychiatriques de Mondor m’appelle pour me demander pourquoi mon père se retrouve aux urgences. Il a un vague courrier de Bel Air qu’il ne comprend pas. Je lui raconte le déroulé des faits. Il n’en revient pas. Mon père passe la nuit sur un brancard dans un couloir des urgences dans un grand état de confusion. A 10h le lendemain matin, j’ai le docteur FAHS au téléphone. Quand je lui demande ce qui s’est passé entre 17h (on me dit qu’on le garde) et 18h30 (on l’envoie faire un « bilan gériatrique ») pour qu’il se retrouve aux urgences à Mondor, il est tout d’abord évasif, puis énervé, puis me raccroche au nez. Plus tard j’ai le docteur AMERI au téléphone qui m’explique qu’en fait une infirmière s’est fait mal au dos ou je ne sais quoi et donc n’est pas venue et donc voilà…c’était plus simple comme ça. Plus simple de s’en débarrasser en le déposant à la porte d’un autre hôpital. Bien évidemment sans aucune de ses affaires (qu’on n’arrive pas à récupérer depuis) Plus simple de me mentir. C’est intéressant d’ailleurs de constater que cette clinique fait partie du groupe ORPEA qui a défrayé la chronique ces derniers mois. Sur leur site il y a écrit « Le groupe Orpea change »… Bah non, rien ne change. Ils n’aiment toujours pas les vieux. "

"Très bien beau parc personnel gentil et compétent "